×

21 jours pour changer ses habitudes énergétiques

Posté le 27 juillet 2021

Penser à ne pas laisser allumé dans une pièce vide ou éteindre les équipements informatiques au lieu de les laisser en veille inutilement, utiliser l’escalier plutôt que l’ascenseur systématiquement, les bonnes habitudes à prendre ne manquent pas en terme d’efficacité énergétique des bâtiments.

Contrairement aux réflexes qui sont innés, une habitude est un automatisme qui s’apprend.

Au début, c’est un effort puis peu à peu l’effort diminue, l’objectif étant qu’il devienne un acquis donc automatique. Un processus qui prend au minimum 21 jours, selon l’ouvrage de référence Psychocybernetics du docteur américain Maxwell Maltz paru en 1960 : ce chirurgien esthétique de profession avait remarqué que ses patients mettaient en moyenne 21 jours pour accepter un changement d’apparence physique, après une opération du nez par exemple :

« Tous ces phénomènes observés chez la plupart des gens semblent indiquer que l’on a besoin d’au minimum 21 jours pour faire disparaître une vieille image mentale et en créer une nouvelle ».

Dans son livre Making habits, breaking habits (2013) Jeremy Dean analyse le temps nécessaire pour former une habitude : cela prend 21 jours pour un geste simple comme boire 1 verre d’eau tous les jours après son petit-déjeuner. Mais pour des habitudes plus complexes, le temps d’adaptation peut durer jusqu’à 60j. Car plus vous sortez de votre zone de confort, plus ce sera difficile (par exemple arrêter de fumer).

Quid de nos habitudes énergétiques au bureau ?

Chez Sobre Energie, nous en sommes convaincus, la sobriété énergétique des bâtiments c’est l’affaire de tous. Nos engagement managers sont là pour accompagner tous les occupants d’un bâtiment et les aider à devenir consomm’acteur énergétique. Les freins au changement sont multiples (désintérêt, manque de motivation, manque de formation, de visibilité des enjeux…). Nos outils pour les lever ludiques et variés : campagne d’écogestes, challenges entre équipes, serious game.

Résultat, les consommations énergétiques des bâtiments tertiaires peuvent diminuer rapidement jusqu’à 10% en agissant uniquement sur les comportements (Source OID, Observatoire de l’immobilier durable).